A l'approche des Jeux Olympiques 2024 à Paris où lutte, escrime, boxe, judo et taekwondo seront représentés ...
et pour répondre à l'éternelle question que se posent les fans de sports de combat et d'arts martiaux, "Qui est le meilleur combattant de tous les temps ?", ce livre étudie toutes les périodes historiques, de l'Antiquité jusqu'à nos jours, toutes les grandes compétitions, tous les sports de combat majeurs sans armes (sports de préhension, sports de percussion, arts martiaux mixtes) et avec armes, et donne enfin les classements.
Ce livre de 800 pages (en e-book ou en 2 tomes) est le résultat de décennies de collecte d'informations et de recherches historiques.
- Tome 1 (année 2024, 461 pages, 31,99€)
- Tome 2 (année 2024, 348 pages, 28,99 €)
Dans l'Antiquité gréco-romaine, un champion qui parvenait à obtenir des victoires majeures sur 3 olympiades avait droit à une statue "à son image". Il devenait littéralement un champion iconique.
Sur une période de 5000 années, voici les 32 champions des sports de combat (sans arme) majeurs que j'ai réussi à répertorier et qui ont donc réussi à dominer leurs contemporains 12 années ou plus.
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Du VIIème au IVème siècle avant J-C, la Grèce antique engendrera en moyenne un champion iconique par génération (tous les 25 à 30 ans).
RépondreSupprimerMais l'époque romaine (du milieu du IIème siècle avant J-C à la fin du IVème après J-C) n'en engendrera qu'un seul dans les sports de combat d'origine grecque.
En effet, la plupart des champions iconiques répertoriés pour cette époque étaient des combattants avec armes, c'est-à-dire ... des gladiateurs.
Les douze champions iconiques de l'Antiquité se répartissent ainsi :
RépondreSupprimer- quatre lutteurs
- un pancratiaste-lutteur
- quatre pancratiastes
- un pugiliste-pancratiaste
- et deux pugilistes.
Aux XVIIIème et XIXème siècles, les empires ottoman et britanniques fournissent les nouveaux champions iconiques respectivement : en lutte à l'huile "yagli gures" et en boxe à mains nues "bareknuckle".
RépondreSupprimerDeux autres foyers de luttes traditionnelles engendrent également des champions iconiques :
RépondreSupprimer- le Japon (avec un yokozuna et son élève, un rikishi exceptionnel)
- et la Mongolie (alors sous domination chinoise).
La majeure partie du XXème siècle est sous domination sportive (en plus d'économique et de militaire) des États-Unis d'Amérique. Six champions iconiques en 80 ans. Du jamais vu dans l'Histoire.
RépondreSupprimerMais à la fin de ce XXème siècle, URSS (puis Russie), Cuba, Mongolie et Ukraine engendrent eux aussi leur champion iconique.
RépondreSupprimerEn réaction à la multiplication des disciplines, des tournois rassemblant tous les sports de combat de percussion (K1 Grand Prix) ou carrément tous les sports de combat (UFC) permettent aux champions de venir se mesurer les uns aux autres.
RépondreSupprimerL'influence des disciplines martiales japonaises est indéniable :
RépondreSupprimer- karaté (au départ) pour Semmy Schilt
- sumo pour Hakuho
- et judo pour Teddy Riner
quand bien même ces champions iconiques sont Néerlandais, Mongol ou Français.