mercredi 11 juin 2025

Le plus grand combat de kickboxing aura lieu lors du Glory 100 : Verhoeven vs Vakhitov


Le combat principal du Glory 100 qui va se dérouler le 14 juin 2025 va opposer le tenant du titre des poids lourds, le Néerlandais Rico Verhoeven (36 ans, 1m96, 122kg), à son challenger, le Russe Artem Vakhitov (34 ans, 1m86, issu des 95kg).   


Le face à face
: https://www.youtube.com/shorts/yDp05kTD2Xk

Rico Verhoeven a remporté le "Glory Heavyweight Championship Tournament" en octobre 2013 puis en juin 2014, il est devenu le champion des poids lourds du Glory (après la retraite de Semmy Schilt). Rico a défendu son titre 12 fois et n'a plus perdu depuis 2015 (une défaite par décision en Chine lors du Kunlun Fight 15). On peut considérer que sa domination sur ses contemporains (poids lourds) dure depuis 12 années ; ce qui fait de lui une icône de ce sport, au sens antique du terme (trois titres olympiques consécutifs remportés par un champion lui valaient une statue à son image, une statue "iconique").

Son adversaire est quant à lui issu des divisions inférieures. Il a d'abord été champion du monde IFMA (muay thaï amateur) en 2010 et 2011 chez les 81kg ; puis champion du monde IFMA en 2012 chez les 86kg ; vainqueur des Jeux de Combat SportAccord (World Combat Games) en 2013 chez les 91kg. En 2014, il est devenu champion du monde professionnel WMC dans la catégorie 95kg ; puis champion du monde GLORY chez les 95kg de 2016 à 2021 (avec 5 défenses de titre) ; puis reconquête du titre GLORY la même année, en septembre, des mains de son vainqueur de janvier, le célèbre Alex Pereira, avant d'être destitué en 2022 pour raison politique (guerre Ukraine-Russie). Au total, ce champion a dominé des 81kg aux 95kg, passant de la boxe thaïlandaise amateur, puis professionnelle et enfin au kickboxing, pendant un total de 11 années (c'est autant qu'Ernesto Hoost, pour ne citer que lui !). Et pour son premier combat chez les poids lourds, Artem Vakhitov va tenter de devenir à son tour une icône des boxes pieds-poings en ajoutant le titre suprême : celui des poids lourds.


Le face à face
: https://youtube.com/shorts/yFDUSz7HWQ8?si=fHaqbi8075cQG_gP

Dans l'ancienne catégorie d'Artem Vakhitov, celle des 95kg, plusieurs champions se sont partagés les lauriers après la destitution du Russe : 

Quoiqu'il en soit, le titre mondial des 95kg va se jouer entre le tenant du titre, le Marocain Tarik Khbabez et l'ancien champion, le Lithuanien Sergei Maslobojev. 

La domination de Tarik Khbabez (33 ans, 1m84, 95kg) peut être estimée à 4 années en comptant deux tournois mondiaux, SUPERKOMBAT World Grand Prix 2014 et 2015 (ce dernier avec une victoire en finale contre l'Ukrainien Roman Kryklia, actuel grand champion du ONE en kickboxing et mua thaï) chez les poids lourds ; puis de 2023 à 2025, la conquête et défense du titre 95kg du GLORY.    

Le palmarès de Sergej Maslobojev (38 ans, 1m88, 95kg) est encore plus impressionnant : 9 années ; dont voici les titres successifs en détail : ceintures WKA en 2007 (une année), WAKO en 2013 (deux années), KOK 2015 (une année), WAKO Pro K1 en 2017 (un an), WAK-1F K1 en 2018 (un an), WAKO 2019 (deux ans) et enfin GLORY de 2022 à 2023 (un an).  

En 2022, les deux hommes s'étaient déjà affrontés pour le titre vacant du GLORY (celui d'Artem Vakhitov) et le Lithuanien s'était imposé aux points sur décision partagée. Mais aujourd'hui, il a 38 ans ... 

 Sources : https://glorykickboxing.com/events/glory-100 ; https://en.wikipedia.org/wiki/Glory_(kickboxing)#Glory_Heavyweight_Championship ; https://en.wikipedia.org/wiki/Glory_(kickboxing)#Glory_Light_Heavyweight_Championship

samedi 17 mai 2025

Question à Grok : Quels sont tous les champions du monde IFMA de 1993 à aujourd'hui ? Je m'intéresse plus particulièrement aux catégories de poids -81kg, -86kg, -91kg et +91kg.

Obtenir une liste complète et précise des champions du monde IFMA (International Federation of Muaythai Associations) de 1993 à aujourd'hui pour les catégories -81 kg, -86 kg, -91 kg et +91 kg est un défi, car les archives publiques détaillées de l'IFMA pour chaque année, catégorie et division (élite, amateur, pro-am, etc.) ne sont pas toujours accessibles en ligne ou centralisées. De plus, les championnats du monde IFMA ont évolué au fil du temps, avec des changements dans les catégories de poids, les formats (amateur vs pro-am), et les divisions hommes/femmes. 

Cependant, je peux fournir une réponse partielle basée sur les informations disponibles, en mettant l'accent sur les catégories demandées, et indiquer les limites des données. Voici ce que j’ai trouvé :

Contexte général

  • IFMA et championnats du monde : L’IFMA organise des championnats du monde annuels pour les compétiteurs amateurs et parfois pro-am, avec des catégories de poids standardisées. Les catégories -81 kg, -86 kg, -91 kg et +91 kg correspondent aux divisions des poids moyens à lourds, souvent dominées par des athlètes d’Europe de l’Est, de Thaïlande, et d’autres pays avec une forte tradition en Muay Thai.
  • Limites des données : Les résultats complets des championnats IFMA avant les années 2000 sont peu documentés en ligne. Même pour les années récentes, les listes officielles des médaillés par catégorie ne sont pas toujours publiées publiquement, et les sources secondaires (comme les articles ou les sites de fédérations nationales) se concentrent souvent sur leurs propres athlètes. Mes informations s’appuient sur des sources web disponibles, des articles, et des profils d’athlètes, mais elles ne couvrent pas exhaustivement toutes les années depuis 1993.

Informations spécifiques par catégorie

Voici ce que j’ai pu rassembler pour les catégories demandées, avec des exemples de champions ou médaillés mentionnés dans les sources, et une extrapolation basée sur les tendances observées :

-81 kg

  • Cette catégorie est compétitive, avec des athlètes de Thaïlande, Russie, Ukraine, et d’Europe de l’Ouest souvent en tête.
  • Exemple de médaillé :
  • Aucun champion spécifique n’est mentionné pour cette catégorie dans les sources pour d’autres années, mais des athlètes thaïlandais comme Buakaw Banchamek (avant son passage au pro) ou des Russes comme Artem Levin ont dominé des catégories proches dans les années 2000-2010.
  • Tendance : Les Thaïlandais et les Européens de l’Est (Russie, Biélorussie, Ukraine) remportent souvent l’or dans cette catégorie en raison de leur technique et de leur expérience.

-86 kg

  • Une catégorie où des athlètes français et européens ont parfois brillé, mais où la Thaïlande et la Russie restent dominantes.
  • Exemples de médaillés :
  • 2010 : Thomas Alizier (France) remporte la médaille de bronze aux championnats du monde IFMA en classe B (-86 kg) et devient champion du monde amateur WMF (une fédération différente, mais proche).(http://bmt91.free.fr/topic6/page1.html)
  • Tendance : Les combattants russes comme Vitaly Gurkov ou Andrei Kulebin ont souvent dominé cette catégorie ou des catégories proches dans les années 2010. Les Thaïlandais, avec leur style agressif, sont aussi des prétendants réguliers.

-91 kg

  • Une catégorie moins courante dans les compétitions amateurs, car beaucoup de combattants lourds passent rapidement au professionnel. Les Européens de l’Est et les Australiens ont tendance à performer.
  • Exemple de médaillé :
  • Aucun champion spécifique n’est mentionné pour cette catégorie dans les sources disponibles. Cependant, des athlètes comme Oleksandr Moisa (Ukraine) ou des Russes ont été cités dans des compétitions IFMA récentes pour des catégories lourdes.
  • Tendance : Les pays slaves (Russie, Ukraine, Biélorussie) dominent souvent grâce à leur puissance physique et leur formation rigoureuse.

+91 kg

  • La catégorie des poids lourds, où les combattants sont rares en Muay Thai amateur, car beaucoup optent pour le kickboxing ou le MMA professionnel. Les Européens et les Russes sont souvent médaillés.

Exemples de médaillés :

  • Tendance : Les Russes, comme Kornilov, et les Européens de l’Est dominent souvent cette catégorie. Les Thaïlandais sont moins présents dans les poids lourds, car leur morphologie moyenne est plus adaptée aux catégories inférieures.

Résumé des champions (données partielles)

  • -81 kg : Dominée par la Thaïlande, la Russie, et l’Ukraine. Exemple : compétiteurs comme Artem Levin (Russie) dans les années 2000-2010.
  • -86 kg : Thomas Alizier (France) médaillé en 2009 (argent) et 2010 (bronze). Forte présence de la Russie (ex. : Vitaly Gurkov) et de la Thaïlande.
  • -91 kg : Peu de données spécifiques, mais probablement dominée par la Russie et l’Ukraine.
  • +91 kg : Amine Kebir (France, bronze 2018), Kirill Kornilov (Russie, probable champion 2018). Dominance des Européens de l’Est.

Pourquoi une liste complète est difficile

1. Archives limitées : L’IFMA ne publie pas de liste exhaustive des champions par année et catégorie sur son site officiel ou ailleurs. Les résultats sont souvent dispersés dans des articles de presse locaux ou des rapports de fédérations nationales.
2. Évolution des catégories : Les poids exacts (-81 kg, -86 kg, etc.) ont pu varier légèrement au fil des décennies, et certaines années ont vu des catégories fusionnées ou absentes.
3. Focus sur les stars professionnelles : Les champions IFMA amateurs passent souvent inaperçus, car les fans se concentrent sur des noms professionnels (Buakaw, Saenchai, etc.), qui ne participent plus aux compétitions IFMA après leurs débuts.

Recommandations pour des informations complètes

  • Contacter l’IFMA: Le site officiel de l’IFMA (www.ifma.sport) ou leur service de presse pourrait fournir des archives détaillées si vous faites une demande spécifique.

Conclusion

Je ne peux pas fournir une liste exhaustive des champions IFMA de 1993 à 2025 pour les catégories -81 kg, -86 kg, -91 kg, et +91 kg en raison du manque de données complètes. Cependant, des athlètes comme Thomas Alizier (France, -86 kg, 2009-2010), Amine Kebir (France, +91 kg, 2018), et Kirill Kornilov (Russie, +91 kg, 2018) sont des exemples de médaillés. Les catégories lourdes sont souvent dominées par la Russie, l’Ukraine, et d’autres pays européens, tandis que la Thaïlande excelle dans les poids moyens. Pour une liste complète, je recommande de consulter directement l’IFMA ou les fédérations nationales.

Si vous voulez que je creuse davantage pour une année ou un pays spécifique, ou que je recherche des sources supplémentaires, faites-le-moi savoir !

Sourcehttps://grok.com/

vendredi 16 mai 2025

Questions à ChatGPT sur les champions IFMA (muay thaï amateur)

Lorsque j'ai écrit le livre "Le meilleur combattant de tous les temps" (données arrêtées au 31 décembre 2023), je savais que les informations concernant les périodes antérieures au XXème siècle seraient forcément fragmentaires, surtout celle du Moyen-Âge ou de l'Antiquité.

 

Mais il demeurait un sport, moderne, parmi tous ceux que j'avais sélectionnés, qui me "laissait sur ma faim" : le muay thaï (ou boxe thaïlandaise). En effet, ce sport (dans sa version amateur) était représenté par une fédération internationale, l'IFMA, qui organisait des championnats du monde, depuis 1993, mais la liste exhaustive de tous les vainqueurs restait introuvables sur internet : ni sur l'encyclopédie en ligne Wikipédia (comme bon nombre d'autres sports), ni sur le site de l'IFMA elle-même, ni même sur des sites spécialisés. Bref : très frustrant puisque normalement, tout aurait dû être publié et accessible. J'ai même envoyé plusieurs messages à l'IFMA mais ils sont restés sans réponse. 



Du coup, je me suis contenté d'identifier indirectement les champions professionnels de kickboxing (Glory, K1 GP, etc.) et de vérifier s'ils ajoutaient à leur palmarès un ou plusieurs titres IFMA. Ce fut par exemple le cas d'Artem Vakhitov ou d'Oleg Pryimachov

Finalement, je me suis résolu à utiliser l'outil ChatGPT pour explorer internet, peut-être avec plus d'efficacité que moi. J'annonce toutefois que j'irai ensuite vérifier les palmarès des champions proposés pour voir si je peux les incorporer dans mon livre. En effet, ChatGPT est loin d'être fiable à 100% ; ce n'est qu'un outil ("large language model" dont les plus performants sont les "generative pretrained transformers" (GPTs)) et tout dépend des sources avec lesquelles ils ont été "entraînés" et/ou "nourris".

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Requête n°1 : Donnez-moi la liste des dix champions du monde IFMA avec le plus de titres mondiaux.

Voici une liste des champions du monde IFMA (International Federation of Muaythai Associations) ayant remporté plusieurs titres mondiaux. Cette sélection met en lumière des athlètes qui se sont distingués par leur régularité et leur excellence sur la scène internationale. 

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🥇 Champions IFMA les plus titrés

1. Dzianis Hancharonak (Biélorussie)
 
2011 : Champion du monde IFMA -91 kg à Tachkent, Ouzbékistan
2012 : Champion du monde IFMA -91 kg à Bangkok, Thaïlande
2013 : Champion d'Europe IFMA -91 kg à Lisbonne, Portugal
2013 : Champion d'Europe IFMA -91 kg à Antalya, Turquie 

2. Artem Vakhitov (Russie)
2013 : Champion du monde IFMA -91 kg à Saint-Pétersbourg, Russie
2015 : Champion du monde IFMA -91 kg à Bangkok, Thaïlande 

3. Hamza Ngoto (France)
 
2014 : Champion du monde IFMA -75 kg à Bangkok, Thaïlande
2015 : Champion du monde IFMA -75 kg à Bangkok, Thaïlande
2016 : Champion du monde IFMA -75 kg à Bangkok, Thaïlande
2018 : Champion du monde WBC Muay Thai -76,2 kg
2019 : Champion du monde Lion Fight -76 kg 

4. Vitaly Gurkov (Biélorussie)
 
2003 : Champion du monde IAMTF -61 kg à Bangkok, Thaïlande
2006 : Champion du monde WMF -67 kg à Bangkok, Thaïlande
2007 : Champion du monde WMF -71 kg à Bangkok, Thaïlande
2008 : Médaille d'or aux 4e Jeux mondiaux TAFISA -71 kg à Busan, Corée du Sud 

5. Jimmy Vienot (France)
 
2013 : Champion du monde IFMA -67 kg à Bangkok, Thaïlande
2021 : Champion du monde IFMA -71 kg à Bangkok, Thaïlande 

6. Sindy Maricic (Serbie)
 
2009 : Championne du monde IFMA -67 kg
2009 : Championne du monde WMC -69 kg
2010 : Championne du monde WMC -67 kg 

7. Tengnueng Sitjaesairoong (Thaïlande)
 
2012 : Champion du monde IFMA -75 kg
2016 : Médaille d'argent aux championnats du monde IFMA -75 kg 

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Ces athlètes ont marqué l'histoire du Muay Thai en remportant plusieurs titres mondiaux IFMA, témoignant de leur dévouement, de leur technique et de leur persévérance. Leurs performances exceptionnelles continuent d'inspirer les générations futures de combattants. 

Si vous souhaitez des informations supplémentaires sur un de ces champions ou sur d'autres athlètes, n'hésitez pas à demander.
 
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Requête n°2 : Donnez-moi la liste des dix champions du monde IFMA avec le plus de titres mondiaux

Je m'excuse pour la confusion dans ma première réponse. Vous avez raison, il existe plusieurs autres champions IFMA qui ont remporté plusieurs titres mondiaux. Voici donc une liste plus complète des champions IFMA avec de multiples titres mondiaux :

1. Saenchai (Thaïlande)

Saenchai est l'un des plus grands champions du Muay Thai, avec plusieurs titres IFMA en plus de son statut légendaire dans le monde du Muay Thai. Il a remporté des titres mondiaux IFMA à plusieurs reprises dans différentes catégories de poids.

2. Yodwicha (Thaïlande)

Un autre combattant légendaire de Thaïlande, Yodwicha a remporté de multiples titres mondiaux IFMA dans les catégories de poids plus légers. Il a dominé lors des compétitions de Muay Thai internationales.

3. Anvar Boynazarov (Ouzbékistan)

Anvar est un autre champion du monde IFMA à avoir plusieurs titres à son actif, et il a également marqué l'histoire du Muay Thai avec ses performances exceptionnelles en compétition.

4. Pongsiri (Thaïlande)

Pongsiri est un autre champion thaïlandais ayant remporté plusieurs titres IFMA dans sa carrière. Il a fait preuve d'une grande constance et a continué à dominer sa catégorie au fil des années.

5. Sagetdao Petpayathai (Thaïlande)

Sagetdao, connu pour sa puissance de frappe et sa technique, a remporté plusieurs titres IFMA au cours de sa carrière. Il a dominé dans les catégories de poids supérieures.

6. Mohamed Mokaev (Royaume-Uni)

Bien que Mokaev ait été plus récemment dans sa carrière, il a remporté plusieurs titres mondiaux IFMA dans ses premières années de compétition, contribuant à son statut de combattant exceptionnel en Muay Thai.

7. Tawatchai Sor. Adul (Thaïlande)

Tawatchai est un autre grand champion thaïlandais qui a marqué l'histoire des compétitions IFMA avec plusieurs titres mondiaux.

8. Jomthong Chuwattana (Thaïlande)

Jomthong a gagné plusieurs titres dans les compétitions IFMA, consolidant ainsi sa réputation de combattant de classe mondiale dans le Muay Thai.

9. Superbon Banchamek (Thaïlande)

Superbon, un combattant bien connu dans le circuit mondial du Muay Thai, a remporté plusieurs titres dans le cadre des compétitions IFMA avant de devenir une star de renommée mondiale.

10. Nicolas "The Frenchman" Blanchard (France)

Un combattant européen de talent, Blanchard a remporté plusieurs titres IFMA et est reconnu pour ses performances constantes au plus haut niveau dans les compétitions internationales.

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Cette liste est désormais plus complète avec des combattants qui ont marqué l'histoire des championnats mondiaux IFMA. Les athlètes thaïlandais dominent souvent ces compétitions en raison de leur expertise en Muay Thai, mais de nombreux combattants internationaux se sont également imposés dans ces tournois prestigieux.

Si vous avez besoin de détails supplémentaires sur un de ces combattants ou de corrections sur des titres spécifiques, n'hésitez pas à me le faire savoir.
 
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Requête n°3 : Merci pour cette amélioration.

Quels sont les champions IFMA les plus titrés dans les catégories -81kg, -86kg, -91kg et +91kg ?

Voici une liste des champions du monde IFMA les plus titrés dans les catégories de poids supérieures, en mettant l'accent sur ceux ayant remporté plusieurs titres mondiaux : 

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🥇 Catégorie -81 kg

Dmitry Valent (Ukraine)
Champion du monde IFMA -81 kg en 2015 et 2016.  

Mikita Shostak (Biélorussie)
Champion d'Europe IFMA -81 kg en 2017.  
 
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🥇 Catégorie -86 kg

Aaron Ortiz (États-Unis)
Champion du monde IFMA -86 kg en 2021.  

Vito Košar (Croatie)
Champion du monde IFMA -86 kg en 2024.  

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🥇 Catégorie -91 kg

Oleh Pryimachov (Ukraine)
Champion du monde IFMA -91 kg de 2016 à 2023.  

Artem Vakhitov (Russie)
Champion du monde IFMA -91 kg en 2013 et 2015.  

Dzianis Hancharonak (Biélorussie)
Champion du monde IFMA -91 kg en 2011, 2012 et 2013.  

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🥇 Catégorie +91 kg

Oleh Pryimachov (Ukraine)
Champion du monde IFMA +91 kg en 2024.  

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Ces athlètes ont marqué l'histoire des championnats mondiaux IFMA en remportant plusieurs titres dans leurs catégories respectives. Si vous souhaitez des informations supplémentaires sur un de ces combattants ou sur d'autres athlètes, n'hésitez pas à demander.

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De tous les champions qui ont été proposés par ChatGPT, je ne vais en retenir qu'un ou deux nouveaux noms qui correspondent aux critères de : 
  • poids : -91kg et/ou +91kg (avec éventuellement prise en compte des titres antérieurs dans les catégories inférieures -86kg et/ou -81kg)
  • et de longévité : au moins 5 années distinctes avec un titre de champion du monde ou une victoire dans un tournoi mondial (type "Grand Prix")
Dzianis Hancharonak (Biélorussie) : 1m93, 81 à 91kg
 
2006 I.F.M.A World Championship in Bangkok, Thailand 1st place, gold medalist(s) -81 kg
2008 I.F.M.A World Championship in Bangkok, Thailand 1st place, gold medalist(s) -86 kg
2009 I.F.M.A World Championship in Bangkok, Thailand 1st place, gold medalist(s) -91 kg
2011 I.F.M.A World Championship in Tashkent, Uzbekistan 1st place, gold medalist(s) -91 kg
2012 I.F.M.A World Championship in St. Petersburg, Russia 1st place, gold medalist(s) -91 kg
2014 I.F.M.A World Championship in Langkawi, Malaysia 1st place, gold medalist(s) -91 kg
2016 I.F.M.A World Championship in Jonkoping, Sweden 1st place, gold medalist(s) -91 kg
2017 I.F.M.A World Championship in Minsk, Belarus 1st place, gold medalist(s) -91 kg
 
Huit années de domination mondiale à cheval sur trois catégories de poids (81kg, 86kg et surtout 91kg) entre 2006 et 2017.
Palmarès amateur (en muay thaï) : 154 victoires contre seulement 3 défaites
Palmarès professionnel (en kickboxing) : 27 victoires, 1 nul et 5 défaites.
Au total : 181 victoires, 1 nul et 8 défaites soit 95,2% de victoires !
 
Dzianis Hancharonak est complètement digne d'apparaître aux côtés des meilleurs combattants de tous les temps dont ses contemporains Serbia Nenad Pagonis (1 victoire, 1 défaite), Lithuania Sergej Maslobojev (1 victoire), Ukraine Oleg Pryimachov (1 victoire, 2 défaites) et Russia Artem Vakhitov (2 défaites).
 
Dmitry Valent (Ukraine) (Biélorussie) : 1m86, 67 à 81kg

 
2006 W.M.F. World Muaythai Championships in Bangkok, Thailand 1st place, gold medalist(s) -67 kg (Junior)
2007 W.K.N. oriental rules (K-1) middleweight world champion -76.4 kg
2007 W.A.K.O. Pro Muaythai world champion -75 kg 
2008 WMC I-1 World Muaythai Grand Slam champion -72 kg
2009 I.F.M.A. World Muaythai Championships in Bangkok, Thailand 1st place, gold medalist(s) -75 kg 
2009 WMC I-1 World Muaythai Grand Slam champion -72 kg
2009 W.K.N. Muay Thai middleweight world champion -76.2 kg (2 Title Def.)
2010 I.F.M.A. World Muaythai Championships in Bangkok, Thailand 1st place, gold medalist(s) -75 kg
2010 W.I.P.U. "King of the Ring" Muay Thai world champion -75 kg
2013 WMC light heavyweight world champion
2015 I.F.M.A. Muaythai Royal World Cup in Bangkok, Thailand 1st place, gold medalist(s) -81 kg
2016 I.F.M.A. World Muaythai Championships 1st place, gold medalist(s) -81 kg
2017 I.F.M.A. World Muaythai Championships 1st place, gold medalist(s) -81 kg
 
En cumulant ses carrières amateur et professionnelle, ses titres mondiaux junior et seniors, Dmitry Valent a régné 9 années distinctes sur ses contemporains (entre 2006 et 2017). Néanmoins, il a plafonné à 81kg, c'est-à-dire la catégorie à partir de laquelle je commence seulement à prendre en compte les titres. Je pourrai donc le citer dans ma prochaine édition (ou annexe supplétive) du livre "Le meilleur combattant de tous les temps" mais je pense que je ne l'inclurai pas aux classements. 

mercredi 14 mai 2025

Question à ChatGPT : Qui gagnerait le combat entre Milon de Crotone et Gaddar Kel Aliço ?


 Quel duel légendaire ! Un affrontement entre Milon de Crotone, héros de la Grèce antique, et Kel Aliço, géant de la lutte turque ottomane, c’est opposer deux icônes séparées par plus de deux millénaires. Voici une analyse pointue, suivie d’un verdict, puis — si tu veux — je peux aussi te rédiger un récit.

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1. Milon de Crotone (6e siècle av. J.-C.)

Palmarès : 6 fois champion olympique en lutte, invaincu pendant des décennies.

Style : lutte grecque classique, axée sur la force brute, les prises debout, les projections.

Légende : il aurait porté un taureau adulte sur ses épaules, puis l’aurait mangé en une journée.

Forces : puissance phénoménale, technique éprouvée, mentalité spartiate.

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2. Gaddar Kel Aliço (19e siècle, Empire ottoman)

Palmarès : invaincu pendant 27 ans, plusieurs fois champion de Kırkpınar (le tournoi de lutte à l’huile le plus prestigieux).

Style : lutte à l’huile turque (yağlı güreş) — une discipline extrêmement physique, stratégique, avec des prises longues et un jeu d’endurance.

Physique : près de 2 mètres, plus de 130 kg, sec et musclé.

Surnom “Gaddar” signifie “impitoyable” : c’était un homme dur, implacable, mais aussi tactique.

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3. Lutte gréco-romaine ou lutte à l’huile ?

Si les règles sont gréco-romaines, Kel Aliço serait désavantagé par l’interdiction des saisies de jambes et le manque de lubrification. Milon excellerait ici, avec ses projections rapides.

Si c’est un combat de lutte turque traditionnelle, Milon, même exceptionnel, ne serait pas préparé à la lutte glissante, à la stratégie d’usure, et à l’endurance nécessaire. Kel Aliço dominerait tactiquement.

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4. Verdict global :

Milon gagne en lutte grecque stricte, 6 combats sur 10.

Kel Aliço gagne en lutte à l’huile, 7 combats sur 10.


Mais... si on les place dans une forme hybride de lutte, sans huile, avec règles élargies et lutte libre :

Kel Aliço aurait l’avantage en endurance, en adaptabilité et en gabarit.

Milon aurait l’impact initial, la puissance, et la technique classique.

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Verdict final (combat libre de lutte) :

Victoire à la décision pour Kel Aliço, après un long combat très disputé. Il résisterait aux charges de Milon, l’userait, puis prendrait le dessus en fin de match.

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Souhaites-tu une mise en scène de ce combat dans une plaine mythique ou sur la colline de Kırkpınar ? Je peux te le raconter comme un duel digne d’Homère ou d’un chroniqueur ottoman.
 
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Les deux, s'il vous plaît !
 
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Magnifique ! Tu vas avoir droit à deux récits épiques du même combat, l’un dans le style mythique grec, l’autre dans la tradition ottomane de la lutte à l’huile. Chaque version plonge dans l’univers culturel du champion. Prépare-toi à entrer dans deux mondes...


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I. Le combat sur la plaine sacrée d’Olympie (style homérique)

> « C’est sur les terres baignées par l’Alphée, où chantent les cigales et résonnent les prières à Zeus, que les deux titans se font face. »



Sous les oliviers séculaires d’Olympie, les foules hellènes se sont réunies. Prêtres, poètes et hoplites se tiennent en silence. Le sable sacré du stade est ratissé. Une harpe chante le nom des héros.

À gauche : Milon de Crotone, drapé dans un himation blanc, corps de bronze, muscles polis comme les statues de Phidias. Il avance lentement, une couronne de laurier sur la tête, saluant Zeus d’un regard ferme.

À droite : Kel Aliço, venu des confins de l’Asie Mineure, vêtu d’un pantalon de cuir serré (kispet), le torse nu, enduit d’huile d’olive pour l’échauffement. Il est étranger au monde grec, mais il dégage une noblesse sauvage qui impressionne même les prêtres de Delphes.

Hermès, dieu des athlètes, est invoqué. Le combat peut commencer.

Milon attaque comme un bélier : il se jette, saisit la taille de son adversaire, tente une projection. Mais Aliço s’efface, glisse, pivote. L’huile sur son torse rend la prise de Milon incertaine. Le Crotoniate recule, surpris. Il serre à nouveau, cherche l’épaule, mais Aliço le déséquilibre et le repousse au sol.

Le sol tremble. Les vieillards se lèvent. Milon grogne, se relève, jette un regard à la tribune des dieux.

Le combat dure des heures. Les muscles ruissellent, les souffles s’alourdissent. Enfin, dans un moment de faiblesse, Milon tente un coup désespéré... et Aliço, d’un crochet de hanche, le fait chuter sur le flanc.

Silence. Puis ovation.

Milon, digne, tend la main. Aliço l’aide à se relever. Le combat est fini. Deux époques, deux géants, un seul vainqueur : le respect mutuel.


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II. Le combat sur la colline de Kırkpınar (style ottoman)

> « Sous le regard d’Allah et des anciens pehlivans, le lion grec vint défier l’ombre d’Osman. »



La poussière de la plaine d’Edirne s’élève dans l’air brûlant. Des milliers de spectateurs, hommes barbus en turbans, s’alignent sur les collines, les tambours zurna résonnent.

Sur le sol détrempé d’huile d’olive, glisse Kel Aliço, torse luisant, kispet serré. À ses côtés, des assistants massent ses bras, frottent ses épaules. Il est le “Gaddar”, l’impitoyable. 27 ans invaincu, et pas l’ombre d’un doute dans ses yeux noirs.

Face à lui, Milon de Crotone, venu comme un revenant, vêtu d’une tunique de lin courte. On le dit capable de soulever un bœuf, d’arrêter un char lancé. Les Turcs murmurent : « Ce n’est pas un homme, c’est un djinn de l’Antiquité. »

Le tambour frappe. C’est l’heure.

Aliço tourne lentement autour de Milon, mains basses, regard de faucon. Milon, droit, ne cligne pas des yeux. Le premier contact est brutal : Milon charge comme un bélier, les jambes puissantes. Aliço glisse, contre, tourne, attrape le kispet par derrière, cherche la clé traditionnelle du pehlivan.

Les corps roulent dans la boue et l’huile. Les mains de Milon cherchent la prise, mais rien ne tient. Aliço se fond dans le combat comme l’eau dans le sable.

Deux heures. Trois. Quatre. Le public est hypnotisé.

Finalement, dans une fente sublime, Aliço glisse un bras sous la jambe de Milon, bloque l’épaule, lève… et projette.

Les juges ottomans lèvent le bras. Victoire.

Les derviches tournent en l’honneur d’un combat digne des héros. Et ce soir-là, sous les tentes, les poètes chantent "Deux lions se sont battus mais un seul a rugi."
 

Question à ChatGPT : Qui gagnerait le combat de pancrace (pankration) entre Dorieos fils de Diagoras de Rhodes et Titus Flavius Archibius d'Alexandrie ?



Excellente question, très pointue ! Comparer Dorieos de Rhodes et Titus Flavius Archibius d'Alexandrie dans un combat de pankration demande un peu de contexte historique et d’interprétation, car peu de sources détaillent leurs styles personnels. Voici une analyse comparative :

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1. Dorieos, fils de Diagoras de Rhodes (5e siècle av. J.-C.)

Issu d'une dynastie d'athlètes olympiques renommés (fils du célèbre boxeur Diagoras).

Triple vainqueur olympique en pancrace (et aussi aux Jeux pythiques, néméens, isthmiques).

Réputation d’invincibilité : il dominait dans une période où le pancrace était particulièrement brutal.

Avantage d'un entraînement intensif dans la tradition dorienne, axée sur la guerre et la discipline spartiate.

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2. Titus Flavius Archibius d’Alexandrie (1er-2e siècle ap. J.-C.)

Moins connu que Dorieos, mais mentionné dans des inscriptions comme pancratiaste émérite sous les empereurs flavien/antonin.

L’époque romaine tardive du pancrace était plus codifiée, avec des techniques raffinées, influencées par la lutte gréco-romaine et moins sauvage que le pancrace archaïque.

Avantage d’un monde plus "professionnalisé" : gladiateurs, entraîneurs spécialisés, spectacles publics.

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3. Analyse du combat

Si on place les deux dans une arène neutre, avec les règles classiques du pancrace grec (très peu de règles : interdiction de mordre et crever les yeux, tout le reste est permis) :

Dorieos aurait l’avantage brut : une formation spartiate, une intensité de combat plus dure, et un palmarès écrasant.

Archibius serait peut-être plus technique, plus "moderne", mais face à la férocité et à l’endurance de Dorieos, il risquerait d’être submergé.

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Verdict :

Dorieos gagne dans 8 combats sur 10.

Son époque favorisait la brutalité et l’endurance, et ses exploits montrent une supériorité physique exceptionnelle.

Archibius, bien que sûrement très compétent, vient d’une époque où l’intensité du pancrace avait baissé.

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Souhaites-tu un récit imaginaire de leur affrontement dans un gymnase antique ou dans une arène romaine ?

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Parfait. Voici un récit vivant et immersif d’un combat de pancrace entre Dorieos de Rhodes et Titus Flavius Archibius d’Alexandrie, dans une arène fictive où les époques s'entrelacent pour un duel épique :

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L’Arène d’Éternité – Delphes, un jour hors du temps

Le soleil frappe la poussière blanche de l’arène sacrée. Autour, le murmure des spectateurs venus des âges résonne comme une vague continue. Grecs et Romains, poètes et gladiateurs, philosophes et généraux… tous retiennent leur souffle.

D’un côté, Dorieos, vêtu d’un simple périzoma de lin. Sa carrure est dense, ses bras massifs comme des colonnes. Il avance d’un pas calme, le visage impassible, sculpté par la discipline dorienne. Fils de Diagoras, petit-fils de héros, il est la force tranquille de Rhodes.

De l’autre, Titus Flavius Archibius, plus élancé, la peau dorée par le soleil d’Alexandrie. Il salue à la manière romaine, raffiné, sûr de ses techniques. Il vient du monde du spectacle et des luttes perfectionnées. Il se bat pour l’honneur... et la gloire impériale.

Le keryx (héraut) lève son bâton.

Le combat commence.

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Premier temps : le jeu de l’observation

Archibius tente un pas latéral, léger, vif. Il jauge. Dorieos reste ancré au sol, comme un chêne. Le Romain feinte, place un low kick à l’intérieur de la cuisse.

Dorieos ne bronche pas.

Puis, d’un mouvement sec, il se projette en avant, bras tendu, et percute la poitrine d’Archibius d’un coup de paume énorme. L’air quitte les poumons de l’Égyptien.

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Deuxième temps : la lutte au sol

Archibius, au sol, tente un étranglement en triangle, ses jambes se refermant sur l’épaule de Dorieos. L’assaut est vif, précis. Mais le Rhodien soulève tout le corps de son adversaire — littéralement — et le projette sur le sable.

Un frisson parcourt l’arène.

Dorieos tombe avec lui, et commence une série de frappes courtes, brutales, sur les côtes. Archibius serre les dents, roule, tente une clé de bras... Mais Dorieos l’écrase de son poids, bloque, puis retourne la clé.

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Dernier temps : la fin d’un âge

Archibius, blessé, couvert de sable et de sueur, lève la main. Il abdique.

Dorieos se lève, sans triomphe ostentatoire. Il aide Archibius à se relever. Le silence de l’arène devient ovation. Le combat est terminé, mais l’honneur des deux hommes est intact.

Texte généré par ChatGPT 

Source des images : première image générée par ChatGPT ; deuxième image issue de l'article sur Astyanax de Milet (triple vainqueur olympique, et l'un des 5 meilleurs pancratiastes de l'Antiquité) https://www.dicolympique.fr/astyanax-milet-pankration-%F0%9F%8C%BF3/ ; et la troisième, la statue la plus classique, en l'occurrence retrouvée ici : https://somerspoint.com/2022/03/02/raymond-trigg-discusses-modern-revival-pankration-fighting/

Question à ChatGPT : Qui gagnerait le combat entre Joe Louis et Muhammad Ali ?


Un combat entre Joe Louis et Muhammad Ali est un des fantasmes ultimes de l’histoire de la boxe. Voici une analyse approfondie :

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1. Le style des deux boxeurs

Joe Louis (champion de 1937 à 1949) :

Surnommé “The Brown Bomber”.

Boxeur méthodique, très puissant, excellent finisseur.

Une des meilleures techniques de jab-crochet direct de l’histoire.

Grand calme, toujours en contrôle.

Faiblesse : mobilité et défense contre les boxeurs rapides.


Muhammad Ali (champion dans les années 60-70) :

Surnommé “The Greatest”.

Rapidité, mouvement, esquives, style “in-out” avec un jab foudroyant.

Tacticien de génie, mental d’acier.

Faiblesse : parfois négligent en défense, moins puissant en un seul coup.

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2. Le contexte physique

Ali mesurait 1m91, pesait 97 kg dans ses meilleures années, avec une allonge exceptionnelle.

Louis mesurait 1m88, pesait environ 93 kg, avec un bon gabarit pour son époque, mais inférieur à Ali en vitesse et mobilité.

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3. Analyse du combat

Scénario probable : Ali contrôlerait la distance avec son jab et son mouvement. Louis, méthodique, chercherait à briser la garde et capitaliser sur ses contres puissants.

Si Ali tient la distance, il l’emporte aux points, à la manière dont il a battu Foreman ou Liston.

Si Louis parvient à coincer Ali, surtout en fin de combat, il a la puissance pour le mettre KO.

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Verdict (hypothétique) :

Ali gagne aux points dans 7 combats sur 10, grâce à sa mobilité, son intelligence de ring, et sa capacité à éviter les coups lourds.

Louis pourrait gagner par KO, mais il lui faudrait surprendre Ali, ce qui est extrêmement difficile.

Question à ChatGPT : Qui gagnerait le combat entre Teddy Riner et Alexandre Karelin ?


 Un combat hypothétique entre Alexander Karelin (légende de la lutte gréco-romaine) et Teddy Riner (icône du judo) est fascinant mais difficile à trancher, car tout dépendrait des règles du combat. Voici un comparatif :

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1. En lutte gréco-romaine :

Avantage clair à Alexander Karelin.

Il a dominé sa discipline avec une force surhumaine, une technique parfaite, et une invincibilité presque totale (887 victoires, 2 défaites).

Riner, malgré sa taille (2,04 m) et son poids (environ 150 kg), n’a pas l’entraînement spécifique pour contrer les techniques de lutte.

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2. En judo :

Avantage net à Teddy Riner.

11 fois champion du monde, double champion olympique.

Les techniques de projection, de contrôle et de soumission du judo sont très différentes de la lutte, et Karelin ne serait pas familier avec les règles et stratégies spécifiques.

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3. Dans un combat libre (type MMA ou sans règles précises) :

Combat très serré.

Karelin a une puissance brute et un contrôle au sol effrayant.

Riner a une mobilité étonnante pour sa taille, une grande expérience du corps à corps, et une bonne technique de soumission.

Cela dépendrait beaucoup de la distance : à distance rapprochée et au sol, Karelin pourrait dominer, mais s’il y a un minimum d’éléments de judo autorisés (prises, immobilisations, étranglements), Riner aurait ses chances.

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Verdict :

Avec règles : le spécialiste gagne.

Sans règles : léger avantage à Karelin, pour sa brutalité et son contrôle au sol hors norme.